Quand le jour s'est levé sur la ville de Sidney , la population a commencé à vivre sa journée comme si tout était normal. Mais dans un hôpital, un événement spécial était en train de se dérouler. Dans une chambre de maternité, des cris d'épuisement se faisaient entendre et on pouvait assimiler cela à la mort d'un animal sous la torture. Mais non, ce n'était pas des animaux, c'était tout simplement Bonnie-Wright Faust, ma mère. Et oui, les noms compliqués, cela se transmet de parents à enfants! Après neuf mois dans la douleur et l'attente, un petit garçon voyait enfin le jour. J'étais tout rose et toue joufflue, on aurait dit un petit cochon tout rose qui venait de sortir de sa maman la truie! Mes parents étaient un couple fort et solide, ils étaient ensemble depuis l'âge de quatorze ans et c'est à l'âge de vingt-trois ans que ma mère tomba enceinte de moi.

Mon père était un riche homme d'affaire, il avait des amis mais aussi des ennemis bien évidemment. Mais comme tout homme d'affaire qui se respecte, il se devait d'être partout dans le monde et donc de voyager sans cesse, laissant ma mère et moi seules à la maison. Il avait employé de temps en temps un garde du corps pour nous surveiller mais il n'était pas toujours présent. Quand personne ne pouvait s'occuper de moi, une gouvernante le faisait et pour tout dire, tout allait pour le mieux quand elle était là. Un soir, alors que j'avais cinq ans, je découvris que la vie n'était pas faite que de bonnes choses. Ce soir-là, j'étais seule avec ma mère à la maison. Nous avions commandé des pizzas et avions prévu une soirée film. Nous n'allions pas être toutes seules longtemps vu que le garde du corps était prévu dans la soirée. Mais le livreur de pizza arriva avant le garde du corps. En effet, quand ma mère ouvrit la porte au livreur de pizza, elle se retrouva face à face avec un homme qui avait tout simplement une arme à la main. Elle se retourne pour voir si je pouvais la voir pour me dire de m'enfuir. « Si tu prononces un seul mot, je te tire une balle dans la tête et je lui fais sa fête à lui aussi. » Ma mère était maintenant complètement tétanisée par la peur et ne pouvait dire grand chose à part quelques mots noyés dans les larmes. « Ne lui faites pas de mal, je ferais ce que vous voulez. » Ma mère regarda l'homme qui avait maintenant mis l'arme dans son dos, prêt à tirer si elle faisait quoique ce soit. Il la jette alors sur le canapé et ma mère se jeta sur moi, comme pour me protéger. Il fouilla dans toute la maison et appela mon père pour avoir les informations nécessaires. Quand il eu fini de tout mettre à l'envers, il se rapprocha de moi, j'étais encore dans les bras de ma mère. Il me regarda et pointa son arme vers la tête de ma mère. « Je vais t'expliquer ma petite. Ton papa m'avait promis beaucoup d'argent mais il ne me l'a toujours pas donné. Je lui ai dit que si je n'avais pas l'argent maintenant, je tuerais sa femme. Hélas, il m'a dit qu'il n'avait pas l'argent alors tant pis. Cher petit, dit au revoir à ta mère. » Je n'avais pas eu le temps de me retourner que ma mère gisait dans une marre de sang avec une balle entre les deux yeux. Je pleurais à chaude larme en regardant ma mère, puis pris de colère, je donnais alors un coup de pied dans les parties intimes du monsieur. Ce n'est pas grand chose mais quand on a cinq ans, on ne peut pas faire grand chose. Je partais alors en courant vers la sortie. Heureusement, à ce moment là, le garde du corps arriva. Il me recueilli dans ses bras avant de m'envoyer dans la maison de mes voisins. Ce fut la dernière fois que je vu ma mère et ce fut aussi la dernière fois que je vécu dans cette maison où tant de drame se sont passés. L'enterrement a été fait de manière discrète pour ne pas éveiller les mauvaises pensées. J"étais inconsolable, bien heureusement, ma famille était là pour me soutenir. Mais ce fut trop dur pour tout le monde et ma famille commença tout doucement à se dispatcher un peu partout dans le monde. Mais quand on a le coeur déchiré par la perte d'un être cher, aucun endroit ne peut faire oublier cette douleur insupportable pour moi, alors âgé de cinq ans.

Après ce drame, je fus recueilli par mon père et ont est tout deux partis dans la ville de Londres, en Angleterre comme pour se faire oublier et ainsi se construire une nouvelle vie. Mais quand on a cinq ans et qu'on a vu sa mère mourir devant ses yeux, la vie n'est pas toujours facile. Après de grandes séances de thérapie, la vie a continué et là, j'ai essayé de vivre la vie que j'ai toujours rêvé. Mon père est toujours l'homme d'affaire qu'il a toujours été mais a décidé de limiter les voyages, ne voulant pas infliger à son fille encore plus d'absence qui lui a coûté la mort de sa femme. Je vis alors une vie de petit prince, toujours bien habillé, avec toujours les meilleurs jouets à la mode et tout ce qu'il y a de mieux pour les enfants. J'ai souvent attiré les jalousies mais ce ne fut jamais dans le point de me faire des ennemis. Heureusement pour moi, je pouvais compter sur ma meilleure amie qui a toujours été là pour moi. Je l'ai rencontrée quand je suis arrivé dans la ville de Londres et j'ai grandi avec elle, entre nous, cela a toujours était bien sans aucune dispute. Elle est le seule à pouvoir me réconforter quand je ne vais pas bien et surtout elle est la seule qui a su me redonner le sourire après ce que j'ai vécu. Notre rencontre s'est faite, une semaine après mon arrivée dans la ville de Londres. Je ne connaissais personne et je me sentais un peu comme dans un grand monde que je ne connaissais pas et pour tout dire, je me sentais quand même un peu perdu. J'avais été inscrit à l'école la plus proche de la maison mais surtout la plus prestigieuse de tout Londres et oui, papa est toujours aussi riche. C'est alors que je fais ma rentrée en CP que je rencontre ma future meilleure amie. « Bonjour, moi c'est Cléophée-Lane et toi? » J'étais un peu surpris car je ne connaissais pas encore la mentalité qu'est celle de Londres. Je couru alors voir la maîtresse . Celle-ci alla donc voir Cléophée-Lane pour savoir ce qu'il se passait. . C'est tout bête mais c'est ainsi que nous sommes devenus les meilleurs amis du monde.

Des années ont passées. Mais à force de s'amuser, les soucis peuvent facilement arriver. Quand l'année s'est terminé, les soirées se sont enchaînées. Lors d'une soirée un peu arrosées, j'ai fait l'amour mais sans se protéger. Bien malheureusement, la demoiselle tomba enceinte et ce ne fut pas une chose assez simple à vivre. Elle avait donc décider de prendre son courage à deux mains pour aller m'avouer sa grossesse. Elle y alla difficilement mais elle l'avait fait, elle arriva alors devant ma porte et sonna. « Hey salut ma chérie! Quelque chose ne va pas? » La demoiselle pris alors une profonde inspiration et posa ses mains sur son ventre avant de me regarder droit dans les yeux. « Oui, quelque chose ne va pas, je viens pour te dire que je suis enceinte et que c'est toi le père .. » Je resta bouche bée et ne su pas comment réagir à la nouvelle mais je ne garda pas le silence bien longtemps quand même! « C'est pas possible! Je ne peux pas être père! Ma réputation serait fichue! » Ne me regardant plus, elle partit en courant chez elle. Une semaine après, me voilà partie de chez moi pour l'Europe. Bien évidemment, la seule à avoir des nouvelles de ma part n'était autre que ma meilleure amie. Mais alors que j'étais parti la rejoindre pour un voyage, nous avons passé la nuit dans les bras l'un de l'autre. Le lendemain, elle prenait l'avion pour rentrer à Londres. Cela fait maintenant quelques mois que je suis revenu sur Londres et j'avais décidé de faire ma vie ici, dans cette ville et non en Europe. Je suis quand même un peu anxieux de retrouver ma meilleure amie et surtout de revoir la femme a qui j'ai brisé le coeur. Quelques jours après, je passais un soirée dans une grande fête avec ma meilleure amie, drogue, alcool, sexe, étaient clairement au rendez-vous. Depuis mon voyage en Europe, je me drogue régulièrement, cocaïne, LSD, WEED, sont mes nouveaux amis. Le lendemain, j'étais marié, avec ma meilleur amie, comment avions nous fait?